

The Famished Road
Par Françoise Clary
France met. & monde : 3€ jusqu'à 25€, 6€ jusqu'à 50€, 9€ jusqu'à 100€, 12€ au-delà 100€ DOM-TOM : 8€
Synthèse des travaux les plus récents, Clefs concours permet de s'orienter dans la bibliographie et de mettre en perspective l'évolution des savoirs.
Clefs concours Anglais - Littérature
Tous les titres sont organisés autour d’une structure commune :
- des repères : un rappel du contexte historique et littéraire ;
- les grandes thématiques, indipensables à la compréhension des enjeux de la question ;
- des ouvertures pour des pistes de réflexion ;
- des outils méthodologiques, notamment bibliographiques ;
- un système de circulation pratique entre les fiches et les références.
Fiche technique
INTRODUCTION
REPÈRES
Contexte géopolitique d'une œuvre : le NigériaContexte historique d'une vie : Ben OkriLe contexte littéraire de l'écriture de Ben Okri : les courants de pensées; mythes et croyances d'AfriqueL'œuvre : vision africaine d'un monde empreint de spiritualitéLes œuvre majeures de Ben Okri
THÈMES
Position de narration : le choix du mythopoétiqueHybridité narrativeCadres et niveaux de la temporalitéLieux et espacesPhilosophie société et cultureUn nouveau regard sur la réalité : écriture critique et projection intérieure
SYNTHÈSE ET PERSPECTIVES
Écriture de l'Africanité : une vision prismatique au-delà du réalisme magiqueRoman et littérature du Nigéria : les influences majeures
BIBLIOGRAPHIE
CARTES
Françoise Clary, agrégée d'Anglais et docteur en Littérature américaine, est professeur émérite à l’université de Rouen.
"The Farmished Road (1991), premier volet d'une trilogie dont les deuxautres volets sontSongs of Enchantment(1993) etInfinite Riches (1998), raconte l'histoire d'Azaro. Narrateur de ses propres aventures; cetAbiku, ou "enfant esprit", vient au monde à la veille de l'indépendance et des premières élections, dans un des bidonvilles d'un centre urbain du Nigéria dont l'auteur ne précise pas le nom, mais qui est assez semblable à Lagos. Ces Abikus, littéralement des "enfants-nés-pour-mourir", tels qu'on les nomme dans les coyances yorubas du Nigéria, refusent de rester sur Terre parmi les vivants."