Tavernier
Un dimanche à la campagne (1984)
Par Thomas Pillard
France met. & monde : 3€ jusqu'à 25€, 6€ jusqu'à 50€, 9€ jusqu'à 100€, 12€ au-delà 100€ DOM-TOM : 8€
Clefs Concours
S'adressant à tous les candidats aux concours, en particulier Agrégation et CAPES, Clefs Concours offre une synthèse par sujet. Conçu comme un repère par rapport aux monographies et aux cours et comme un outil de révision, chaque ouvrage est articulé autour de fiches thématiques permettant de faire le point sur les acquis de la recherche.
Synthèse des travaux les plus récents, Clefs Concours permet de s'orienter dans la bibliographie et de mettre en perspective l'évolution des savoirs.
Clefs concours Lettres.
Tous les titres sont organisés autour d'une struture commune:-des repères : un rapppel du contexte historique et littéraire.
-des grandes "problématiques", indispensables à la compréhension des enjeux de l'oeuvre.
-le "travail du texte" consacré aux questions de langue, de stylistique et de grammaire
-des outils méthodologiques, notamment bibliographiques.
-un système de circulation entre les fiches et les références bibliographiques.
Fiche technique
- Référence
- 460343
- ISBN
- 9782350303437
- Hauteur :
- 17,8
- Largeur :
- 12
- Nombre de pages :
- 352
INTRODUCTION
REPÈRES
Bertrand Tavernier : homme pluriel et cinéaste inclassable
Contexte socio-historique et cinématographique
Un dimanche à la campagne : Genèse , productions , réceptions
PROBLÉMATIQUES
De l'écrit à l'écran : la fabrique de l'adaptation
L'art et la manière : la "petite musique" de Tavernier
D'une fin de siècle à l'autre : explorer la discordance des temps
OUTILS
Séquencier
Archives et documents
Bibliographie
Glossaire
Thomas Pillard est chargé d'enseignement aux universités Sorbonne Nouvelle-Paris 3, Bordeaux Montaigne et Lausanne.
" Cette plongée dans un film, dans une aventure vieille de plus de trente ans a fit ressurgir bien des souvenirs. Cette passion que nous avons tous partagée, ce bonheur que nous avons, que j'ai éprouvé, à réaliser ce film, bonheur mâtiné d'angoisses : on tournait quasiment en continuité et il fallait intégrer les changements de lumière, anticiper les alertes météorologiques. Nous n'avions quasiment pas de décors d'intérieur clos et Bruno de Keyzer ne cessait de me répéter : je serai tranquille quand on arrivera à l'heure du thé."