Pour en finir avec la crise du cinéma français
Le cinéma français crève l'écran
Par Pauline Escande-Gauquié
France met. & monde : 3€ jusqu'à 25€, 6€ jusqu'à 50€, 9€ jusqu'à 100€, 12€ au-delà 100€ DOM-TOM : 8€
Longtemps décrié, le cinéma français fait figure de miraculé, le seul qui ait, parmi les pays développés, su économiquement tenir tête au rouleau compresseur américain tout en préservant une réelle créativité. Ce succès repose sur des règles, des modes de fonctionnement et des circuits très spécifiques. Pourtant certains de ses acteurs ne cessent de clamer leur angoisse par un discours de crise cataclysmique ; ont-ils raison de s’inquiéter à l’heure de la globalisation alors que, récompensé à Hollywood, le cinéma français crève l’écran.
Un texte très didactique qui permet de comprendre les rouages de la machine cinématographique mais aussi un texte vivant composé à partir d’entretiens, d’exemples vécus, d’anecdotes.
Fiche technique
- Référence
- 460199
- ISBN
- 9782350301990
- Hauteur :
- 17,8
- Largeur :
- 12 cm
- Nombre de pages :
- 320
INTRODUCTION
LE CINÉMA FRANÇAIS , UN CINÉMA QUI VA BIEN
État des lieux
Mieux comprendre la bipolarité du cinéma françaispar les différentes phases d'un film du développement jusqu'à l'exploitation
UNE BONNE SANTÉ QUI REPOSE SUR UN CINÉMA CARACTÉRISÉ PAR DEUX ÉCOSYSTÈMES
À chaque cinéma, son écosystème
Le maintien nécessaire d'un système binaire
Bibliographie
Box-office des 10 meilleurs films français 2007-2011
Glossaire
Sigles
Pauline Escande-Gauquié est maître de conférences à Paris-Sorbonne-CELSA et publie des critiques de cinéma ; elle a également participé à des processus d’écriture cinématographique.
"En premier lieu, déconstruire ces représentations afin de comprendre que dire la crise permet la reconnaissance de l'incertitude. Or, comme le révélera l'enquête que j'ai menée auprès de professionnels du cinéma français (producteurs, distributeurs, exploitants, auteurs, etc.), l'incertitude est vivement éprouvée dans le milieu du cinéma, car elle est liée à l'activité elle-même : l'industrie du protype."
Critique de Clément Graminiès pour le site Critikat disponible ici