Jean Renart
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Jean Renart

19,00 €
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Le Roman de la Rose ou de Guillaume de Dole

Avec les contributions de Mathilde Grodet et Nathalie Bragantini-Maillard

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Clefs Concours
S'adressant à tous les candidats aux concours, en particulier Agrégation et CAPES, Clefs Concours offre une synthèse par sujet. Conçu comme un repère par rapport aux monographies et aux cours et comme un outil de révision, chaque ouvrage est articulé autour de fiches thématiques permettant de faire le point sur les acquis de la recherche.
Synthèse des travaux les plus récents, Clefs Concours permet de s'orienter dans la bibliographie et de mettre en perspective l'évolution des savoirs.

Clefs concours Lettres
Tous les titres sont organisés autour d'une structure commune:-des repères : un rapppel du contexte historique et littéraire.
-des grandes "problématiques", indispensables à la compréhension des enjeux de l'oeuvre.
-le "travail du texte" consacré aux questions de langue, de stylistique et de grammaire
-des outils méthodologiques, notamment bibliographiques.
-un système de circulation entre les fiches et les références bibliographiques.

Fiche technique

Référence
460336
ISBN
9782350303369
Hauteur :
17,8
Largeur :
12
Nombre de pages :
288

INTRODUCTION

REPÈRES

L'auteur et son oeuvre
Le mélange des genres
Entre réalisme et courtoisie : le mélange des registres

PROBLÉMATIQUES

Introduction
D'armes
D'amour
Et de littérature

LE TRAVAIL DU TEXTE

Les épreuves de littérature
L'épreuve de grammaire

BIBLIOGRAPHIE

Mathilde Grodet enseigne les lettres modernes au collège Honoré de Balzac de Neuilly-sur-Marne.


Nathalie Bragantini-Maillard est maître de conférences en langue et littérature françaises du Moyen-Âge à l'université Blaise Pascal-Clermont Ferrand.

"Jean Renart : cet évident pseudonyme évoque l’intelligence et l’habileté. Le prénom “Jean” a certes donné lieu à des interprétations différentes. Roger Dragonetti y voit un “prête-nom à un art raffiné de la ruse” [Dragonetti, 1982, p. 38-48], tandis que Jean Dufournet, dans son introduction au roman, reconnaît au contraire le nom d’un personnage naïf. Cette divergence d’opinion importe peu : “Jean” est un prénom tellement courant au Moyen Âge que l’on peut lui attacher des qualités diverses. En revanche, tous les critiques associent “Renart”, comme le public de l’époque, à l’animal ingénieux du célèbre roman éponyme, qui fait d’ailleurs partie de l’intertexte du Roman de la Rose. L’impression de subtilité associée à ce senhal – terme occitan qui, dans la lyrique courtoise, désigne le nom codé de la femme aimée, de la destinataire ou, plus largement, d’un être dont on veut préserver l’anonymat, se confirme à la lecture de cet auteur qui joue avec les codes littéraires et déjoue les attentes de son lecteur."