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Corneille, Le menteur

15,00 €
TTC

par Cédric Vanhems.

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3€ en France métropolitaine et à l'international, 8€ dans les DOM-TOM

Traitant de l’une des trois nouvelles œuvres au programme du bac de français pour les sessions 2025, 2026 et 2027, cet ouvrage offre un dossier complet et maniable dans une collection plébiscitée par les élèves et leurs professeurs.

Cet ouvrage propose les éléments permettant, soit de faire cours sur le sujet, soit d’exceller dans la matière. Il se distingue donc nettement des volumes utilitaires autour des programmes.

Il fait aussi appel au point de vue d’un dramartuge contemporain, Jean-Luc Jeener, sous forme de courtes questions/réponses qui éclairent certains thèmes.

Des QRcodes renvoient à des lectures différenciées des mêmes passages afin de faire prendre conscience au candidat des enjeux de la lecture.

Comme tous les Clefs bac, l’ouvrage comporte trois parties :

-Repères :   • comprendre le contexte politique, intellectuel et littéraire de la création de l’œuvre

• comprendre la place de l’auteur dans son époque et dans sa tradition artistique

• comprendre le poids de l’œuvre dans le parcours de l’auteur et pour la postérité

-Probématiques :  • qu’est-ce que le théâtre ?

• qu’est-ce que la vérité sur scène ?

• ressorts de la comédie

• stratégie et pièges du mensonge

-Parcours :  • trois parcours à partir d’autres pièces

-Outils :  • Méthodologie

• Enjeux de la lecture

• Glossaire

• Bibliographie

Fiche technique

Référence
460954
ISBN
9782350309545
Hauteur :
17,8 cm
Largeur :
12 cm
Nombre de pages :
224
Reliure :
broché

Cédric Vanhems est agrégé de Lettres classiques et de Grammaire et enseignant en Lettres au lycée Saint-Jean de Passy.

"L’abandon des personnages traditionnels de la comédie était le premier barrage à franchir, car conserver ces derniers impliquait de ne pas pouvoir changer le reste. En effet, on l’a dit, la comédie, comme tous les autres arts langagiers de l’époque de Corneille, repose sur la maîtrise et le respect des règles de rhétorique. Or l’une d’elles, et sans doute l’une des plus importantes au théâtre, est celle que Cicéron (avocat, homme de lettres et philosophe du Ier siècle av. J.-C.) est le premier à intituler decorum*; terme qu’il serait maladroit de traduire par convenance ou bienséance, tant ces deux mots sont porteurs d’au- tres concepts. Il faut donc expliquer. Dans son traité intitulé Orator, Cicéron affirme que “l’orateur doit voir ce qui est séant non seulement dans les idées, mais aussi dans les mots”. Pourquoi? [...]"

Vous pouvez retrouver les premières pages du livre à feuilleter en cliquant sur le lien ici.