Le petit Neuilly littéraire
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Le petit Neuilly littéraire

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Anthologie impressionniste

Par Nicolas Grenier.

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Promenade littéraire dans Neuilly-sur-Seine, ville chère à Baudelaire, Dumas, Daudet, Anatole France, aux Goncourt, mais aussi mentionnée par Voltaire ou Zola et qui joua un rôle central dans la défense de la Commune de Paris.

De sa foire à son pont, de son château à ses hôtels particuliers, Neuilly a été le prétexte des plaisirs et rencontres qui ont marqué nos grandes plumes.

Fiche technique

Référence
470007
ISBN
9782383500070
Hauteur :
20
Largeur :
10
Nombre de pages :
256
Reliure :
broché

Villes en v.o.    ⁠13
Préface de Jean-Christophe Fromantin    ⁠15
Neuilly en toutes lettres    ⁠17

Arsène Lupin    ⁠21
Par Maurice Leblanc
Banlieue    ⁠25
Barrès, Maurice    ⁠34
Baudelaire, Charles (i)    ⁠37
Par Judith Gautier
Baudelaire, Charles (ii)    ⁠40
Par Maxime du Camp
Bineau, boulevard    ⁠43
Boulogne, bois de    ⁠50
Campagne    ⁠55
Château(x) (i)    ⁠60
Château(x) (ii)    ⁠67
Par François d’Orléans, prince de Joinville
Chic    ⁠70
Commune (i), la    ⁠77
Commune (ii), la    ⁠82
Par Louise Michel
Commune (iii), la    ⁠85
Par Catulle Mendès
Commune (iv), la    ⁠88
Par Émile Zola
Crime    ⁠91
Par Félix Fénéon
Dîner    ⁠93
Par Edmond et Jules de Goncourt
Dumas, Alexandre (fils)    ⁠95
Par Maurice Dreyfous
Église, cimetière    ⁠97
Engliche & Amerloque    ⁠101
Foire (i)    ⁠108
Foire (ii)    ⁠119
Par Angelin Ruelle
Foire (iii)    ⁠121
Par Jules Lemaître
Gautier, Théophile (i)    ⁠124
Par Edmond et Jules de Goncourt
Gautier, Théophile (ii)    ⁠126
Par Ernest Feydeau
Gautier, Théophile (iii)    ⁠129
Par Armand Silvestre
Goncourt, Edmond et Jules (de)    ⁠131
Par Judith Gautier
Guerre (franco-prussienne)    ⁠134
Par Ambroise Rendu
Hôtel (très) particulier (i)    ⁠137
Hôtel (très) particulier (ii)    ⁠140
Par Sydney Vigneaux et Charles Aubert
Île, presqu’île    ⁠143
Matin    ⁠151
Par Anna de Noailles
Musset, Alfred (de)    ⁠153
Nuit    ⁠154
Parc, square, jardin    ⁠161
Paris    ⁠168
Pont (i)    ⁠177
Pont (ii)    ⁠184
Par Ulric Guttinguer
Promenade    ⁠186
Par Anatole France
Rapine    ⁠189
Par Émile Richebourg
Ratafia    ⁠193
Par Judith Gautier
Réplique(s)    ⁠197
Richissime    ⁠207
Par Xavier de Montépin
Roi, reine…    ⁠210
Sablons, plaine (des)    ⁠217
Saint-James (i)    ⁠220
Saint-James (ii)    ⁠225
Par Léon Lenir
Saint-James (iii)    ⁠227
Par Laure Adélaïde Constance Junot, duchesse d’Abrantès
Sans-Souci    ⁠230
Par François-Marie Arouet, dit Voltaire
Seine, la    ⁠233
Tramway    ⁠238
Vieille dame    ⁠241
Par Ernest Daudet
Yole    ⁠244
Par Armand Silvestre
Zola, par Émile    ⁠246

Auteur français, Nicolas Grenier est un spécialiste de la littérature française. Amoureux de géographie et d’histoire, il a publié une quinzaine d’ouvrages, dont Quant à Saint-Germain-des-Prés, trente et un tanka sur la main d’après, aux éditions du Tanka francophone,
prix Paul-Éluard, en 2011, Palais de l’Élysée, Hôtel de Matignon, Ministère des Affaires étrangères et autres lieux de pouvoir de la République française en haïkus, aux éditions du Cénacle, en 2015, et Paris, tout en vers, du Louvre au Père-Lachaise, aux éditions du Volcan, en 2021.

Barrès, Maurice

Natif du village de Charmes, où serpente la Moselle, dans les Vosges, Maurice Barrès est mort à Neuilly-sur-Seine en 1923. Cet écrivain de province est consacré le 25 janvier 1906 par l’Académie française, au fauteuil du poète,
José-Maria de Heredia. Dès ses jeunes années, il fréquente les cénacles littéraires, rencontre Paul Bourget, Charles Maurras, Leconte de Lisle, et publie à l’âge de vingt-six ans le premier volet de sa trilogie Le Culte du moi. Sous la IIIe République, il devient député boulangiste de Nancy.
Ce fervent nationaliste expose sa conception politique dans son tryptique, Le Roman de l’énergie nationale, qui comprend Les Déracinés, L’Appel au soldat, Leurs Figures, publiés entre 1897 et 1902 chez l’éditeur Félix Juven. Maurice Barrès préside la Ligue de la patrie française et demeure l’un des maîtres à danser de la droite nationaliste. Il meurt d’une congestion pulmonaire, dans sa maison de Neuilly. Un boulevard porte son nom, le long du jardin d’acclimatation.

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